
Réflexion sur New York
Le voyage à New York m’a marqué par la diversité culturelle de la ville. En effet, j’ai pu visiter plusieurs quartiers regroupant différentes ethnies. Ma déambulation dans Little Italy m’a rappelé les paysages du film Parrain II de Francis Ford Coppola (1974). J’ai eu la chance de voir plusieurs cultures préservées, telles que dans Chinatown, le Harlem et Little Italy.
J’ai aimé voir non seulement la diversité culturelle, mais aussi la diversité de genres. Comme on l’a appris dans nos cours, New York est un foyer important de la communauté LGBTQ+. J’ai donc adoré voir cet aspect et en apprendre plus, surtout dans Greenwitch Village avec le Stonewall Inn.
De plus, j’ai vu le côté idéalisé de New York, avec l’aspect de la fête, des excès, du plaisir, etc. Le film Gatsby le magnifique de Scott Fitzgerald m'en avait donné un aperçu, et en se promenant le soir, il est fréquent d’apercevoir des fêtes et de voir des gens se procurer de l’alcool. Cet aspect donne vraiment l’impression que New York est la ville de tous les possibles. Comme dirait Jay-z : In New York/ Concrete jungle where dreams are made of/ There’s nothing you can’t do/ Now you’re in New York.
Une autre facette de New York qui m’a frappée est l'omniprésence de la société de consommation. Je m’y attendais, mais je ne pensais pas que ce serait aussi présent et intense. Times Square m’a ébloui par ses publicités qui incitent à la consommation. Partout où je posais l’œil, j’étais sollicitée à acheter quelque chose. À la fin de la soirée, j’étais étourdie et j’avais beaucoup moins d’argent dans mon portefeuille. Même les taxis portaient des pancartes qui faisaient de la publicité pour des entreprises!
Malheureusement, consommation rime souvent avec pollution. J’ai donc pu voir l’aspect sale dans New York, avec les nombreux déchets qui traînent dans les rues.
Le dernier aspect de New York qui m’a frappé est l’omniprésence de l’art dans la ville. Des musées, au street art, en passant par les danseurs de rue, j’ai pu remarquer l’importance de l’art dans cette ville. Durant la déambulation dans Greenwitch Village, j’ai pu voir l’appartement où Jack Kerouac vivait autrefois, j’ai pu dîner à la White Horse Tavern, passer devant le Gaslight Cafe… Ces lieux qui ont hébergé des voix alternatives et résistantes représentent beaucoup dans le bagage artistique de la ville de New York. De plus, en me promenant dans certains endroits, tels que West Side et Brooklyn, j’ai vu beaucoup de street art. J’ai d’ailleurs pu admirer une œuvre d’Invader, mon street artist favori.
Bref, New York m’a charmé avec sa diversité de culture et de genre, son côté festif, consommateur et artistique.





